D'une manière générale, 'Deutsche' considère que les grands assureurs européens (Allianz, Aviva, Generali, AXA et Zurich Insurance) sont attrayants en raison de la solidité de leurs bilans, de la diversification de leurs profits, et de leur capital excédentaire.

Déjà positif sur les titres Allianz et Aviva, les analystes le deviennent aussi sur AXA. Principaux arguments : d'abord la valorisation relative du titre, en retard de 11% sur les valeurs comparables depuis le début de l'année. Certes, reconnaît Deutsche Bank, les rendements obligataires demeurent bien ternes, sans oublier 'le risque d'exécution qui entoure la stratégie de fusion-acquisition du groupe'.

Cela étant, l'action AXA présente désormais une décote de 15% sur le secteur en termes de PER, ce qui paraît excessif aux analystes. Et ce d'autant que le groupe a réussi à se réorienter vers des activités moins intensives en capital et moins sensibles aux fluctuations de marché.

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