'La réduction plus rapide qu'initialement escompté de l'endettement du groupe, la cession à venir d'Uniper comme le redéploiement possible d'une partie de ces recettes sont autant d'éléments encourageants à court et moyen-terme', poursuit le broker.

A contrario, Bryan Garnier adopte une vision plus prudente sur innogy, 'en dépit du caractère hautement régulé et contracté de la société, au vu, notamment, de ses difficultés endogènes au Royaume-Uni et d'un flottant - et donc d'une liquidité - toujours aussi limité'.

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