En effet, 'Louis Vuitton n'a montré aucun signe de décélération au 2e trimestre', salue une note de recherche, et affiche toujours une croissance organique à deux chiffres.

Bref, la division Mode & Maroquinerie (dont fait partie Louis Vuitton) a dû dégager une marge opérationnelle de 35,4% au 1er semestre, calcule Credit suisse. En outre, les hausses des prix ont été réduites durant la période (+ 1% environ). Des relèvements tarifaires seraient donc possibles au 2e semestre, 'ou plus probablement en 2019', pronostique une note.

Bref, 'LVMH est l'action à détenir dans un contexte de ralentissement de la croissance', affirme Credit suisse, selon lequel ce titre est 'le plus défensif de notre univers de couverture. Son portefeuille d'actifs plus diversifié et son exposition géographique bien équilibrée le rendent moins sensible à un fort ralentissement de la demande chinoise que la plupart des autres groupes de luxe'.

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