'LVMH est bien placé pour continuer de faire mieux que le secteur du luxe dans son ensemble', indique une note de recherche. Le luxe est actuellement tiré par le segment du 'soft luxury' (par opposition au 'hard luxury', soit la joaillerie et l'horlogerie), sur lequel la marque Louis Vuitton de LVMH se distingue par sa capacité à 'capturer la demande'.

Certes, la hausse récente de l'euro ne fait pas les affaires du groupe. 'Toutefois, nous pensons que le marché devrait se focaliser davantage sur la demande' qui, selon UBS, devrait révéler de bonnes surprises dans les trimestres qui viennent, malgré des bases de comparaison moins favorables.

UBS estime ainsi qu'au 3e trimestre, LVMH fera état d'une croissance organique de son CA de 8,8%, malgré un effet de changes négatif de 4,3%.

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