Le groupe est en effet particulièrement présent à la Jamaïque et en Haïti, qui moins d'un an après un autre ouragan, Matthew, pourrait de nouveau payer la colère de Dame nature au prix fort.

Alors que Rubis génère 40% de son bénéfice opérationnel courant, les investisseurs s'inquiètent. Au point de reléguer au second plan des comptes semestriels robustes, avec en particulier un bond de 34% du bénéfice net part du groupe en rythme annuel à 139 millions d'euros.

Le bénéfice opérationnel courant a, lui, crû de 10% pour s'établir à 177 millions d'euros, tandis que l'excédent brut d'exploitation (EBE) est ressorti à 238 millions, soit une hausse de 12%.

Déjà connu, le chiffre d'affaires a de son côté grimpé de 25% comparativement aux 6 premiers mois de l'exercice clos à 1,815 milliard d'euros.

Optimiste, Rubis indiquait hier soir que 'la progression de l'activité et l'intégration des acquisitions sur le second semestre devraient conforter la croissance des résultats sur l'ensemble de l'exercice 2017'. Un enthousiasme que le marché ne partage pas, comme en témoigne le décrochage de 4,3% qui a tout de même grimpé de plus de 41% depuis le 1er janvier.

Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.