Le spécialiste des revêtements de sol est en effet aux prises avec une enquête de l'Autorité française de la concurrence, qui doit lui infliger une sanction tout comme à plusieurs autres groupes du secteur, dans un délai inconnu à ce stade.

Pour autant, Tarkett s'est voulu rassurant, considérant la réduction de son endettement net à 137 millions d'euros à fin juin.

L'Ebitda ajusté est, lui, ressorti en croissance de 5,9% par rapport aux 6 premiers mois de 2016 à 160 millions d'euros. L'activité n'a pas été en reste, le chiffre d'affaires ayant progressé de 5,1% et de 3% en organique à 1,364 milliard d'euros.

En termes de perspectives, Tarkett a indiqué anticiper une poursuite des bonnes tendances observées au premier semestre sur l'ensemble de ses segments d'activité. L'impact défavorable de la hausse des prix des matières premières sur l'Ebitda ajusté a néanmoins été révisé à la hausse de 25 à 35 millions d'euros, contre une précédente fourchette de 10 à 20 millions.

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