Ce dernier a investi 6,9 milliards de dollars pour s'offrir le spécialiste des fournitures de bureaux, lequel sera en conséquence retiré de la cote avait échoué il y a 2 ans à fusionner avec Office Depot.

La Federal Trade Commission (FTC) s'était en effet opposée à une proposition de Staples de désinvestir 1,25 milliards de dollars de contrats commerciaux afin de réduire les risques relatifs à la concurrence. Plus tard, en février 2016, la Commission européenne avait donné un feu vert sous conditions. Afin d'apaiser les craintes de Bruxelles, Staples et Office Depot avaient dû accepter de céder l'ensemble des activités de distribution contractuelle d'Office Depot dans l'Union européenne et en Suisse.

Les 2 groupes comptaient également céder l'ensemble des activités d'Office Depot en Suède afin de remédier aux problèmes de concurrence sur le marché de gros dans le pays.

Ce projet in fin abandonné, Staples avait annoncé en mars dernier son départ d'Europe, d'Australie et de Nouvelle-Zélande afin de se recentrer sur le marché nord-américain.

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