TUI a en effet déclaré que sa perte EBITA sous-jacente avait atteint 301 millions d'euros au premier semestre, contre 170 millions d'euros un an plus tôt. TUI a précisé que sa performance avait notamment été affectée par l'impact de la vague de chaleur de l'été 2018, des surcapacités en Espagne et des incertitudes persistantes liées au Brexit.

En outre, ces résultats incluent les premiers impacts de la mise au sol du 737 MAX, qui a débuté à la mi-mars, et l'arrivée tardive de Pâques cette année.

Par ailleurs, la dette nette au 31 mars a atteint 1,96 milliard d'euros, contre 576 millions d'euros il y a un an, la société ayant augmenté son parc d'appareils.

Avec ces résultats, TUI a réitéré ses prévisions d'EBITA sous-jacent pour l'ensemble de l'année 2019 d'environ -17% - en supposant la reprise des vols du 737 MAX pour la mi-juillet - jusqu'à environ -26% - dans le cas où les mesures de mise au sol des 737 MAX seraient prolongées jusqu'à la fin de l'été 2019.

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