TABLEAU DE BORD

CAC 40

  • -0,99%
  • 7.984,93 Pts

NASDAQ 100

  • -0,70%
  • 17.318,55 Pts

DOW JONES

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EUR/USD

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EURONEXT 100

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  • 1.503,61 Pts

Or

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  • 2.288,50
  • CAC 40
  • 7.984,93 Pts
  • -0,99%
SANOFI 93,08€ +1,35%
L'OREAL 439,65€ +0,72%
VEOLIA ENVIRONN. 29,19€ +0,59%
STELLANTIS BR 20,88€ -10,04%
RENAULT 46,74€ -5,52%
BOUYGUES 34,61€ -5,33%

BIC : nouvelle impulsion baissière attendue (PUT 5452S)

DayByDay | 18 juin, 2019 08:16

Du point de vue graphique, BIC a ouvert fin avril un grand gap baissier causé par le rejet la résistance à 79 EUR, en lien avec une déception sur les résultats. Les plus bas de 2018 ont été cassés dans la foulée, renvoyant l’action sur des niveaux de prix de 2013. La valeur sous-performe donc nettement le CAC et cette défiance devrait de se poursuivre dans les jours et semaines à venir. Le titre a en effet buté sur une forte résistance à 70,40 EUR, renforcée par la moyenne mobile à 50 jours descendante. Une nouvelle impulsion est attendue en direction de 64,90 EUR puis surtout le support majeur de 2013 à 60 EUR. Le prix d’entrée optimal pour ce scénario est fixé à 68,90 EUR et l’invalidation est placée à 72 EUR. Analyse rédigée le 18/06/2019 à 08:15 (18/06/2019 06:15:33Z) Day By Day - Valérie Gastaldy - Stratégiste, Associée

BIC
66,000
  • 0,92%0,60
  • Max: 66,10
  • Min: 65,40
  • Volume: -
  • MM 200 : 53,28
17:55 30/04/24
Short Term Long Term
Trend NEGATIVE BAISSIERE
Support 64,9 60
Résistance 70,4 79

BIC : le titre est positionné sur un marché à faible croissance et à forte concurrence (PUT 5452S)

BIC est en tendance baissière depuis le début de l'année, à l'inverse du CAC. De nouveaux plus bas sont attendus. L’analyse technique fixe un objectif de court terme à 60 EUR avec un stop à 72 EUR.

Les points faibles de la valeur selon AOF

- Marché difficile : faible croissance et forte concurrence, avec une montée de la production asiatique, notamment dans les briquets (50 % du marché mondial) ; - Diversité des marges entre branches, les briquets restant, malgré la stagnation de leur activité, le principal contributeur aux profits (40 % en opérationnel) ; - Poids prédominant des matières premières dont les cours sont durablement orientés à la hausse ; - Déception en Bourse après le recul de la rentabilité opérationnelle.

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